Bien qu'étant fan du réalisateur, son premier long-métrage ne m'a jamais vraiment passionné. Malgré son succès critique (Grand Prix du Festival international du film fantastique d'Avoriaz en 1973) et public, j’ai toujours considéré « Duel » pour ce qu’il est : un téléfilm, le coup d’essai d’un grand réalisateur en devenir. Cette première réalisation a bien mal vieilli. L'histoire de ce camion dont le chauffeur reste (presque) invisible aux yeux des spectateurs et qui poursuit sans relâche un voyageur de commerce est quand même simpliste, pas de quoi en faire un long-métrage. Personnellement, je trouve ce survival routier longuet. D’autant qu’excepté l’automobiliste, aucun autre personnage digne de ce nom ne vient enrichir le film. Comme dans son chef-d’œuvre « Les dents de la mer », Steven Spielberg joue sur la suggestion, la peur de ce que l’on ne voit pas (ici le conducteur du camion). Mais là, je n’ai ressenti qu'une vague angoisse vite dissipée. Peut-être parce qu’un camion m’est plus familier qu’un requin… Bref, pour moi, il s’agit d’une œuvre mineure dans la filmographie de Spielberg.
dimanche 29 décembre 2013
Duel (1973)
Bien qu'étant fan du réalisateur, son premier long-métrage ne m'a jamais vraiment passionné. Malgré son succès critique (Grand Prix du Festival international du film fantastique d'Avoriaz en 1973) et public, j’ai toujours considéré « Duel » pour ce qu’il est : un téléfilm, le coup d’essai d’un grand réalisateur en devenir. Cette première réalisation a bien mal vieilli. L'histoire de ce camion dont le chauffeur reste (presque) invisible aux yeux des spectateurs et qui poursuit sans relâche un voyageur de commerce est quand même simpliste, pas de quoi en faire un long-métrage. Personnellement, je trouve ce survival routier longuet. D’autant qu’excepté l’automobiliste, aucun autre personnage digne de ce nom ne vient enrichir le film. Comme dans son chef-d’œuvre « Les dents de la mer », Steven Spielberg joue sur la suggestion, la peur de ce que l’on ne voit pas (ici le conducteur du camion). Mais là, je n’ai ressenti qu'une vague angoisse vite dissipée. Peut-être parce qu’un camion m’est plus familier qu’un requin… Bref, pour moi, il s’agit d’une œuvre mineure dans la filmographie de Spielberg.
Albator, Corsaire de l'espace (2013)
Ma note : 7/10
Monstres contre Aliens (2009)
Ma note : 6/10
Le monde perdu : Jurassic Park II (1997)
Il est étonnant que Steven Spielberg ait réalisé cette suite qui ne s’imposait pas vraiment. Dans son désir de faire la jonction avec le film original, le début est un peu pénible à suivre. Toutefois, on en apprend plus sur le personnage incarné par Jeff Goldblum (sa fille, sa copine…). Si le film met du temps à démarrer ; les dialogues sont intéressants (le professeur Malcolm à l’adresse du milliardaire John Hammond : « Vous avez mis quatre ans pour passer de capitaliste à naturaliste », etc.). Il n’en reste pas moins que les ficelles sont un peu grosses. Le film ne démarre vraiment qu'avec l’arrivée des chasseurs sur l’île. Il est certain que les dinosaures n’apprécient pas d’être pris pour du gibier. Le réalisateur oppose les défenseurs de la nature emmenés par Jeff Goldblum, Julianne Moore et Vince Vaughn aux participants de ce safari purement mercantile. Pourtant, tout ce petit monde se retrouve uni dans l’horreur. Les attaques des dinosaures sont nombreuses (le chasseur massacré par les petits Compsognathus, les Vélociraptors dans les herbes hautes, le T-Rex dans la tente du personnage joué par Julianne Moore, etc.). C’est l’occasion pour le réalisateur de nous offrir quelques plans de toute beauté dont il a le secret. A la fin, le T-Rex échappé sème la panique en pleine ville sur le continent. On pense à « Godzilla ». Ce passage spectaculaire est particulièrement jouissif (le T-Rex qui se désaltère dans une piscine de jardin…). Bref, il y a là de quoi pardonner les longueurs du début. Même si cette suite n’est pas aussi innovante que le film original qui rappelons-le a révolutionné le cinéma avec ses effets spéciaux en images de synthèse ; elle s’avère néanmoins efficace.
Ma note : 8/10
Jurassic Park III (2001)
Ma note : 8/10
Shrek (2001)
Ma note : 9/10
Dragons (2010)
Ma note : 7/10
Raiponce (2010)
Ma note : 10/10
La planète des singes (2001)
Ma note : 1/10
Rebelle (2012)
Ma note : 5/10
Le Magicien d'Oz (1939)
Ma note : 4/10
jeudi 19 décembre 2013
La petite sirène (1989)
Ma note : 8/10
Frère des ours (2003)
Ma note : 9/10
Hercule (1997)
Ma note : 7/10
Là-haut (2009)
Avec ce film d'animation, techniquement réussi comme d’habitude, les studios Pixar jouent sur la nostalgie, notamment avec les émotions causées par le vieillissement du héros, la mort de sa femme, et par leur rêve d’enfance non réalisé. Tout ça est renforcé par des images et un rythme un peu désuets. Malheureusement, le sentiment de tristesse qui touche le spectateur fait rapidement place à une aventure fofolle peuplée d’animaux grotesques tout droit sortis des pires séries Z (les chiens qui parlent avec des colliers émetteurs…). Forcément, cela gâche les bonnes intentions de départ.
Ma note : 5/10
Kuzco, l'empereur mégalo (2000)
Ma note : 6/10
Aladdin (1992)
Inspiré du conte des Mille et Une Nuits, ce classique des studios Disney propose du dépaysement (un tour du monde en tapis volant), des personnages inoubliables, des chansons au top et bien sûr une histoire d’amour, sans quoi un Disney ne serait pas un Disney. Difficile de faire la fine bouche devant ce monument, à moins d’être allergique au genre ou d’avoir perdu son âme d’enfant. Et encore : le personnage du Génie très volubile et ses calembours accompagnés de gags visuels, certains passages impressionnants pour les plus petits (la mégalomanie de Jafar...) ont de quoi combler un public adulte, même exigeant. Jafar, le méchant Vizir a sa place parmi les meilleurs de sa catégorie. L’action virevoltante (notamment les scènes en tapis volant), l’humour (Abu le singe et Lago le perroquet), les sentiments profonds (les qualités humaines d’un voleur préférables à toutes les richesses d’un prince), la démesure (les transformations de Jafar, les délires du Génie) font de ce « Aladdin » le dessin animé Disney le plus mouvementé. Bien que datant de 1992, il demeure techniquement remarquable tant pour ses graphismes d’une grande finesse que pour son animation d’une fluidité parfaite.
Ma note : 10/10
La princesse et la grenouille (2009)
Ma note : 8/10
dimanche 15 décembre 2013
King Kong (2005)
Pour moi ce « King Kong » surpasse la version précédente de 1976 mais pas l'original de 1933 qui montrait déjà tout en faisant plus court. Cependant c’est dans ce nouveau film que le final est le plus émouvant. Naomi Watts est vraiment excellente. Sinon les scènes sur l’île avec les créatures préhistoriques sont (trop ?) nombreuses et très spectaculaires. « Jurassic Park » n’est pas loin et le réalisateur a peut-être une tendance à s’égarer… Mais la seule déception du film c’est la partie avec les indigènes particulièrement hideuse bien en deçà de celle des autres « King Kong ». On se demande même à ce moment-là si le réalisateur ne s’est pas trompé de bobine tellement ces scènes dénotent avec le reste du film. Mais sur une durée de trois heures ce n’est pas rédhibitoire.
Ma note : 8/10
The Host (2006)
Ma note : 7/10
samedi 14 décembre 2013
Twilight - Chapitre 2 : Tentation (2009)
Ma note : 5/10
jeudi 12 décembre 2013
Legend (1985)
Ma note : 6/10
Blade Runner (1982)
Ma note : 9/10
Ladyhawke, la femme de la nuit (1985)
Ma note : 10/10
jeudi 5 décembre 2013
Panic Room (2002)
Ma note : 8/10