mercredi 10 décembre 2014
Terminator Renaissance (2009)
dimanche 7 décembre 2014
Sixième sens (2000)
Ma note : 7/10
samedi 6 décembre 2014
Le village (2004)
Ma note : 9/10
mardi 11 novembre 2014
L'Imaginarium du Docteur Parnassus (2009)
Ma note : 4/10
mercredi 5 novembre 2014
Planète 51 (2009)
Ma note : 6/10
Qui veut la peau de Roger Rabbit ? (1988)
Ma note : 8/10
mercredi 29 octobre 2014
Invasion (2007)
Ma note : 8/10
jeudi 2 octobre 2014
La dernière vague (1977)
jeudi 25 septembre 2014
Monstres Academy (2013)
vendredi 5 septembre 2014
Ils (2006)
Ma note : 3/10
Cocoon (1985)
Ce film de SF, humaniste et bourré de bons sentiments comme souvent chez Ron Howard, ne manque pas d’originalité. Ici, des personnes âgées d’une maison de retraite bénéficient d’un regain de jeunesse au contact d’extraterrestres. Les heureux vieillards font plaisir à voir. Le message du film est résolument optimiste. Il n’est pas dénué d’humour ni de poésie. Les aliens destructeurs sont bien loin. Les acteurs des années 80 (dont l’excellent Brian Dennehy, l’ex-shérif de « Rambo ») contribuent largement à la réussite du film. Les effets spéciaux à l’ancienne restent encore aujourd’hui convaincants. Bref, voilà un bain de jouvence qui fait du bien.
Ma note : 7/10
Starman (1984)
Ma note : 9/10
mercredi 27 août 2014
Epic (2013)
Ma note : 6/10
lundi 18 août 2014
Les gardiens de la galaxie (2014)
Avec ses personnages hauts en couleur, tout sauf coincés et son scénario décomplexé faussement compliqué, « Les gardiens de la galaxie » est le film Marvel le plus fidèle à l’esprit des BD. Forcément, il risque de ne pas plaire à de nombreux cinéphiles habitués à des productions plus consensuelles et formatées. Ce film dépoussière l’univers cinématographique des Marvel grâce à son ton débridé. Star-Lord, le terrien devenu voleur, est un véritable casse-cou dont les répliques imagées sont prises au premier degré par ses compagnons. Nostalgique, il est capable de risquer sa vie pour récupérer son walkman Sony des années 8O qu’il écoutait enfant lorsque sa mère est morte d’un cancer, là-bas sur Terre. Il y a aussi Rocket Raccoon, le raton laveur génétiquement modifié, chasseur de primes, bricoleur et roi de l’évasion ; Groot l’être végétal d’une grande sensibilité et aux capacités vraiment surprenantes (même pour les plus blasés) ; Gamora la femme verte sexy mais irascible et Drax le Destructeur, un colosse guidé par la vengeance. Aucun d’entre eux ne tire la couverture à lui dans le film car tous revêtent une importance et un intérêt équivalents. Les seconds rôles ne sont pas en reste comme le chef des Ravageurs qui a enlevé Star-Lord encore enfant, sur Terre. Cet escroc à la peau bleue possède une arme étonnante ; en l’espèce une puissante flèche qu’il guide en sifflant (?). Les méchants Thanos et Ronan l'Accusateur sont impressionnants. Mais c'est Nébula, la guerrière partiellement cybernétique qui a ma préférence. Ses relations conflictuelles avec son père Thanos et sa sœur adoptive Gamora y sont pour beaucoup. Sinon, l’espace est un terrain de jeux inédit où par exemple le crâne d’une ancienne créature titanesque est devenu une planète colonisée par toutes les fripouilles de la galaxie (et habitée par l’exubérant Collectionneur). Les scènes spectaculaires sur fond de galaxies et d’astres lointains aux jolies couleurs se succèdent à un rythme effréné. Beaucoup sont inédites ce qui constitue une prouesse par les temps qui courent (l’évasion de la prison spatiale, le combat final avec le bouclier formé d’une multitude de vaisseaux, etc.). Des moments d’émotion ponctuent l’action non-stop et la dérision ambiante (le prologue sur Terre avec la mère du héros atteinte d’un cancer, le sauvetage dans l’espace de Gamora par Star-Lord au péril de sa vie, la fleur donnée par Groot à une petite mendiante, le rapprochement entre Star-Lord et Gamora, etc.). Pour couronner le tout, la BO est géniale avec ses tubes des années 70/80. Personnellement, je me suis régalé devant ce nouveau chef-d'œuvre de la SF.
Ma note : 10/10
vendredi 15 août 2014
Lucy (2014)
Voilà un film pour le moins distrayant malgré (ou grâce à) toutes ses invraisemblances. Une fois de plus chez Besson, tout va très vite. Pas le temps de s’attarder sur la vie de l’héroïne qu’elle se retrouve déjà entre les griffes de dangereux trafiquants de drogue. La violence rappelle le « Nikita » du même réalisateur. Seulement ici, à côté des scènes d’action déshumanisées (les dégâts en pagaille causés par la belle Scarlett Johansson), le film aborde un sujet intéressant : les capacités cérébrales humaines encore inconnues. Bien que grossièrement présenté (tout comme dans le récent « Transcendance » avec Johnny Depp), l’alibi scientifique a le mérite d’exister. Les incursions animalières et les théories scientifiques du professeur incarné par Morgan Freeman (encore lui…) qui ponctuent les péripéties de l’héroïne interpellent un minimum le spectateur. Cependant, le réalisateur coupe dans le vif et va droit au but. Peu importe les énormités, tout est fait pour satisfaire le plaisir immédiat du spectateur. Force est de constater que l’objectif est atteint. Plus loin, il y a un peu du « Taxi » de Luc Besson (la course-poursuite dans Paris avec les voitures de police accidentées) avant le grand écart lors d’un passage mystérieux à la « 2001, L’Odyssée de l’espace » de Stanley Kubrick. Les scènes de fusillades alternent avec des visions de l’infiniment petit et de l’infiniment grand, des voyages dans l’espace et le temps (jusqu’à la préhistoire !). A la fin, l’idée d’un ordinateur et d’une clé USB créés par Lucy (merci les effets numériques), en fait l’héritage de ses connaissances, est difficile à avaler mais culottée. Le film est donc généreux en action, en effets spéciaux, en théories fumeuses et séquences fantaisistes. Mais plus de profondeur aurait été bienvenue.
Ma note : 7/10
mercredi 2 juillet 2014
Transcendance (2014)
lundi 9 juin 2014
Edge of tomorrow (2014)
mercredi 4 juin 2014
Catwoman (2004)
Ma note : 4/10
La reine des neiges (2013)
lundi 12 mai 2014
Destination finale 3 (2006)
X-Men : L'Affrontement final (2006)
Fight Club (1999)
Ma note : 7/10
dimanche 4 mai 2014
Les oiseaux (1963)
Comme beaucoup de cinéphiles de ma génération, j’ai grandi avec les rediffusions TV des films d’Alfred Hitchcock. Je garde un très bon souvenir de cette période. A l’heure des changements de plan toutes les secondes, regarder Cary Grant discuter durant vingt minutes dans un restaurant ou suivre pendant un quart d'heure, de face et en plan fixe, James Stewart conduire une voiture le long d’une route serpentée (à l’époque c’était photogénique) peut dérouter le spectateur d'aujourd'hui. La photographie d’époque, très colorée, et la qualité de l'interprétation sont bien là. Dès la rencontre dans le magasin et l’achat du couple d’oiseaux (des « inséparables »), Alfred Hitchcock s’attarde sur la relation amoureuse entre ses deux personnages. Tout comme dans « Psychose » son autre film d’épouvante, la première partie n’a rien à voir avec le genre. D'un point de vue purement cinématographique, c'est du lourd. L’angoisse fait son apparition doucement, par petites touches jusqu’à la fin, abrupte, à déconseiller aux ornithophobes.
Ma note : 10/10
samedi 3 mai 2014
The Twilight Zone (1959)
La série « La quatrième dimension » diffusée dans l’émission « Temps X » a marqué mon enfance. J’adorais l’originalité de ces histoires qui ne bénéficiaient finalement que de peu de moyens. Trente ans après, je me rappelle encore de certains épisodes géniaux. Dans « Étape dans une petite ville » un couple se réveille dans une ville factice (un mannequin au volant d'une voiture sans moteur, de la pelouse en plastique, un train sans passager qui revient sans cesse à son point de départ, etc.). Dans ce décor un rire moqueur retentit de temps en temps. D’avant leur réveil l'homme et la femme ne se rappellent que d’une ombre au-dessus d’eux puis plus rien. La fin de l’épisode montre une main géante qui les saisit. En fait, il s'agit de la main d’une fillette gigantesque qui a placé le couple dans une sorte de vivarium pour humains. Dans la dernière image, elle remercie ses parents de lui avoir donné ces petits terriens… Dans « Question de temps » un banquier sans ambition, myope, passe ses journées à lire. Il ne vit que pour la lecture et les gens sont un obstacle à sa passion. Un jour, alors qu’il s’est caché dans un coffre de la banque où il travaille pour pouvoir lire tranquillement ; c’est l’apocalypse. Il est le seul survivant sur terre. Pour lui, c’est le rêve. Il va à la bibliothèque et fait des piles de livres à lire pour les prochaines années. Il fait un faux mouvement et casse ses lunettes. Le paradis se transforme en enfer car il ne voit plus rien. Comme quoi le bonheur ne tient qu’à un fil... Dans « Le petit peuple » deux astronautes arrivent sur une planète où vit une civilisation d’êtres microscopiques. Sûr de sa force, l’un des voyageurs de l’espace agit en tyran et fait édifier un monument à son image par la population minuscule pour qu’elle le vénère tel un dieu. Il écrase des villes entières avec ses pieds pour asseoir sa domination. Jusqu’au jour où le pied immense d’un astronaute géant arrivé sur la planète l’écrase à son tour… Dans « L’esprit et la matière » un homme, au caractère exécrable, déteste tout le monde, sauf lui. Un jour, en se concentrant il élimine toute présence humaine. Mais tout seul il finit par s’ennuyer. Il crée alors, toujours par le pouvoir de la pensée, les hommes et femmes à son image (même visage et même caractère). Bientôt, la vie pour lui devient invivable et il ne souhaite que le retour à la normale… Beaucoup de thèmes du Fantastique et de la SF sont abordés dans la série de façon mémorable, parfois avec humour, comme l’immortalité avec « Immortel, moi jamais ! » ou « Longue vie, Walter Jameson », la vie après la mort avec « Enfer ou Paradis », les superpouvoirs avec « Le manipulateur », etc. Le thème le plus récurrent est peut-être le voyage dans le temps (« Le Lâche », « Le Retour », « Exécution », etc.) mais avec des variations (d’époques, de points de vue, de conséquences : que l’on puisse ou pas changer le passé ou seulement le faire à la marge…) qui évitent toute redondance. Certaines histoires me semblent inédites à l’écran comme celle de cet homme plutôt bigot qui perd son argent, sa raison et finalement sa vie en jouant à une machine à sous (« La fièvre du jeu »). La morale qui ressort de chaque épisode est bienvenue et pousse à la réflexion. Ce qui fait la force de la série c’est la qualité d’écriture de chaque scénario, une prouesse pour des épisodes de moins d’une demi-heure souvent dotés de twists finaux particulièrement efficaces comme dans « Solitude », « La flèche dans le ciel », « Arrêt à Willoughby », « Y a-t-il un martien dans la salle ? », « Le soleil de minuit », « Comment servir l’homme », « L’Œil de l’admirateur », etc. Il y a là de vrais petits bijoux à voir de toute urgence. Par ailleurs des acteurs connus jouent dans la série : Lee Marvin, Charles Bronson, Lee Van Cleef, William Shatner, Martin Landau, Telly Savalas et bien d'autres. Bref, il s'agit de ma série TV préférée tous genres confondus.
Ma note : 10/10
mercredi 30 avril 2014
Hannibal (2001)
Ma note : 8/10
Le silence des agneaux (1991)
samedi 26 avril 2014
Les sorcières d'Eastwick (1987)
Ce film des années 80 ne fait pas son âge par rapport à la concurrence grâce à sa photographie soignée et ses couleurs vives. Il réunit une belle brochette d’actrices constituée de Cher, Michelle Pfeiffer et Susan Sarandon. Elles donnent la réplique à Jack Nicholson qui comme souvent cabotine à mort. Le problème est que les exubérances et la vulgarité de ce dernier se marient mal selon moi avec le pouvoir de séduction qu’il a sur les femmes. Les mots « baiser », « bite », et « bander » (entre autres) qui sortent de sa bouche ne sont pas des plus attirants. Autre souci : il s’agit d’une comédie familiale plutôt gentillette mais qui comporte des dialogues très crus réservés aux adultes. Le risque est de ne satisfaire personne. Enfin, la mise en place du film est assez longue à démarrer et manque d’effets spectaculaires. Les premiers d’entre eux pendant la partie de tennis sont un peu ridicules. En revanche, la folle du village qui recrache des noyaux de cerises, les maléfices diaboliques qui jouent avec les peurs des possédées (la vieillesse, les serpents, la souffrance), ou encore le sermon de Jack Nicholson sur les femmes vers la fin dans l’église font partie des bonnes idées du film. Mais c’est surtout la vengeance à distance des dames sur le corps de Jack Nicholson qui m’a le plus amusé. Au final, ce film du réalisateur des « Mad Max » s’avère original et sympathique.